Edito #10 Mai 2021
Un an déjà… et le concert continue !Les espaces reprennent vie, nos élèves sont de retour.
A l’occasion,
de l’Art au Grand Oral,
du Club d’histoire à la Section Internationale,
en mai, l’Olivier se veut modestement spécial.
Spécial car, un an déjà, petits et grands, encore une fois, font preuve d’une capacité d’adaptation magistrale.
Toutes et tous, élèves, parents, professeurs, personnels, toutes et tous parcourent des journées rythmées, accordées au diapason des multiples paramètres sans cesse en évolution, non seulement dans le respect des protocoles, des procédures, mais aussi avec du bon sens.
En effet, en plus des différentes crises sociales, la pandémie a brutalement imposé des conditions de travail inédites : une nouvelle ère pédagogique est née.
Forte de son esprit riche et innovant, la communauté scolaire du Grand Lycée se réinvente alors, de concert avec les nouveaux besoins nécessaires à sa bonne santé, à son bonheur.
Forte de son esprit riche et innovant, la communauté scolaire du Grand Lycée se réinvente alors, de concert avec les nouveaux besoins nécessaires à sa bonne santé, à son bonheur.
Réactivité, remises en question, formations, coordination et tant d’autres, elle mobilise. Et, sur le chemin d’une nouvelle expertise, avec patience, avec ardeur, avec constance, elle s’active, elle se dynamise.
Fidèle à son histoire, elle entreprend courageusement un ouvrage délicat et épuisant en écartant toute forme d’uniformité, source d’ennui.
Les espaces reprennent vie, nos élèves sont de retour.
L’établissement s’anime de nouveau et on se surprend d’un bruit diffus dans les couloirs, un bruit qui manque à tous, qui évoque l’harmonie, qui fait plaisir, porteur d’espoir.
Espoir d’une belle fin d’année qui arrive à grands pas.
Que ne ferait-on pas pour la rendre la plus belle possible ?
Fidèle à son histoire, elle entreprend courageusement un ouvrage délicat et épuisant en écartant toute forme d’uniformité, source d’ennui.
Les espaces reprennent vie, nos élèves sont de retour.
L’établissement s’anime de nouveau et on se surprend d’un bruit diffus dans les couloirs, un bruit qui manque à tous, qui évoque l’harmonie, qui fait plaisir, porteur d’espoir.
Espoir d’une belle fin d’année qui arrive à grands pas.
Que ne ferait-on pas pour la rendre la plus belle possible ?
Antoine Salloum,
Directeur Adjoint libanais